
Dans cette vie, j’ai connu au moins un réel bonheur, celui des voyages, pas celui des trusts capitalistes exploitant les touristes en mal de soirées avec GO, de baignades en enclos quand ce n’est pas pire, non celui de la découverte de ces contrées lointaines où se côtoient la beauté des paysages et la vie des peuples, leurs misères, leurs luttes, leurs bonheurs. La mer des Caraïbes, le souvenir d’un soir à Sarajevo, les ruines de Pompéi ou de Tipasa, le théâtre d’Epidaure, la cité royale de Hué, le Parthénon, Syracuse,...
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